mardi 1 janvier 2013
samedi 29 décembre 2012
Un bon magasin d'articles de foot à Paris
Posted on 08:59by Altofran
Petit conseil pratique pour ceux qui cherchent un bon magasin d'articles de foot sur Paris: Espace Foot.
J'ai découvert le lieu après avoir cherché sur Internet pendant un moment pour acheter des maillots de foot du PSG pour mes neveux sur Paris. La disponibilité des maillots et la diversité du choix étaient bons; les deux jeunes vendeurs étaient très serviables, et les prix raisonnables (mais pas exceptionnels).
J'ai découvert le lieu après avoir cherché sur Internet pendant un moment pour acheter des maillots de foot du PSG pour mes neveux sur Paris. La disponibilité des maillots et la diversité du choix étaient bons; les deux jeunes vendeurs étaient très serviables, et les prix raisonnables (mais pas exceptionnels).
Espace Foot - Paris
40 boulevard Henri IV, 75004 PARIS
Tel: 01 44 61 90 34
Métro: Station Bastille (lignes 1, 5 et 8)
Hollande à Alger: Changement de Ton
Posted on 07:53by Altofran
Quelques jours après mon arrivée à Paris, la visite de François Hollande en Algérie pointait du nez, et je trouvais assez intéressants les commentaires dans les médias français de plusieurs personnalités publiques et de journalistes, qui m'a inspiré à une petite réflexion personnelle sur le sujet des relations franco-algériennes et le débat sur le travail de mémoire de la France coloniale.
Hollande, l'équilibriste
Ma première réflexion va vers le talent de François Hollande, qui pris entre les perceptions des deux cotés de la Méditerranée, a bien su manœuvrer et choisir des mots pour qualifier le passé entre les deux nations; des mots qui ont l'air d'avoir satisfait le régime algérien sans fâcher en France. Même si ce ne fût pas une révolution dans la position officielle française sur la colonisation, il s'agit quand même d'un changement de ton venu du premier des Français sur le côté le plus obscur et répréhensible de l'Histoire de la République Française. Bien différents des commentaires de son prédécesseur, Nicolas Sarkozy et de ses acolytes à Droite qui sans honte, avaient tenté de faire voter un article de loi à l'Assemblée Nationale vantant les "effets positifs de la colonisation" le 23 fevrier 2005. (article sur Wikipédia).
Un agresseur, La France, Un agressé, L'Algérie
Etant à Paris en vacances, j'ai eu l'occasion de mesurer l'impact de cette visite dans les milieux médiatique et politique français. Ce qui m'ai fait pensé qu'il s'agit très probablement plus d'une distorsion de la réalité de l'importance de cette visite dans l'opinion publique française, surtout à la veille de Noël, dans un cadre économique moribond, les gens ont vraiment d'autres soucis en tête.
Cependant, j'ai trouvé choquante la position générale des intervenants dans les médias français qui tend à mettre la France et l'Algérie sur un pied d'égalité quand il s'agit de l'histoire coloniale. C'est simplement dégoûtant et malhonnête.
Soyons clairs: il y a une nation, la France, qui pour des raisons socio-économiques internes en 1830 a décidé d'envahir de la plus barbare des manières une autre nation souveraine, l'Algérie, sans aucune raison que le pur impérialisme. Une colonisation de 132 ans s'en est suivi qui a vu des millions d'algériens asservi et relégués au statut d'esclaves de fait au service d'une minorité française (dite "européenne" à l'époque) qui a pillé les richesses du pays, et a même utilisé des algériens comme des cobayes durant les premiers essais de bombes atomiques au début des années 1960. Donc il y a un agresseur et un agressé. Le déni collectif français ne changera rien à cette réalité.
J'ai de la compassion pour toutes les victimes civiles, qu'elles soient algériennes ou françaises, mais je ne puis honnêtement ignorer qui a engendré ce drame historique: la France.
La conscience collective française a toujours eu du mal à affronter ses erreurs historiques, par simple arrogance, aveuglement ou par peur de demandes de réparation économique, qu'il s'agisse de la déportation des juifs pendant la seconde guerre mondiale, ou son histoire coloniale.
Tant qu'un travail de mémoire honnête ne se fera pas dans ce pays, il ne faut pas s'attendre à de la sympathie des autres pays et des relations futures apaisées avec les victimes du colonialisme français du passé.
Pour toute personne qui doute encore de la sauvagerie française en Algérie dès les premières années de la colonisation en 1830, bien avant la guerre d'indépendance algérienne en 1954, une lecture intéressante qui donne un aperçu des massacres perpétrés et relatés par des soldats français:
http://www.ism-france.org/analyses/Le-passe-genocidaire-de-la-France-en-Algerie-article-16433
Un extrait de l'article qui laisse songeur:
« Dans la nuit du 6 au 7 avril 1832, la tribu des Ouffia fut exterminée près d’El-Harrach (Maison-Carrée) par le gouvernement du duc de Rovigo. A ce moment, Pellissier de Reynaud affirmait : « Tout ce qui vivait fut voué à la mort ; tout ce qui pouvait être pris fut enlevé, on ne fit aucune distinction d'âge ni de sexe. Cependant l'humanité d'un petit nombre d'officiers sauva quelques femmes et quelques enfants. En revenant de cette funeste expédition, plusieurs de nos cavaliers portaient des têtes au bout de leurs lances et une d'elles servie, dit-on, à un horrible festin. »**
*Photos de la visite à Alger à partir d'un l'article de ParisMatch.com
** Julien Charles-André, Histoire de l'Algérie contemporaine. La conquête et les débuts de la colonisation (1827-1871), Paris, P.U.F, 2 édition, 1979, page 92. Cf. Sellam Sadek, « Conquête de l’Algérie : crimes de guerre et crimes contre l’humanité », in. Parler des camps, penser les génocides, Paris, Albin Michel, 1999
Hollande, l'équilibriste
Ma première réflexion va vers le talent de François Hollande, qui pris entre les perceptions des deux cotés de la Méditerranée, a bien su manœuvrer et choisir des mots pour qualifier le passé entre les deux nations; des mots qui ont l'air d'avoir satisfait le régime algérien sans fâcher en France. Même si ce ne fût pas une révolution dans la position officielle française sur la colonisation, il s'agit quand même d'un changement de ton venu du premier des Français sur le côté le plus obscur et répréhensible de l'Histoire de la République Française. Bien différents des commentaires de son prédécesseur, Nicolas Sarkozy et de ses acolytes à Droite qui sans honte, avaient tenté de faire voter un article de loi à l'Assemblée Nationale vantant les "effets positifs de la colonisation" le 23 fevrier 2005. (article sur Wikipédia).
François Hollande & Bouteflika (Alger, Déc. 2012) * |
Etant à Paris en vacances, j'ai eu l'occasion de mesurer l'impact de cette visite dans les milieux médiatique et politique français. Ce qui m'ai fait pensé qu'il s'agit très probablement plus d'une distorsion de la réalité de l'importance de cette visite dans l'opinion publique française, surtout à la veille de Noël, dans un cadre économique moribond, les gens ont vraiment d'autres soucis en tête.
Cependant, j'ai trouvé choquante la position générale des intervenants dans les médias français qui tend à mettre la France et l'Algérie sur un pied d'égalité quand il s'agit de l'histoire coloniale. C'est simplement dégoûtant et malhonnête.
Soyons clairs: il y a une nation, la France, qui pour des raisons socio-économiques internes en 1830 a décidé d'envahir de la plus barbare des manières une autre nation souveraine, l'Algérie, sans aucune raison que le pur impérialisme. Une colonisation de 132 ans s'en est suivi qui a vu des millions d'algériens asservi et relégués au statut d'esclaves de fait au service d'une minorité française (dite "européenne" à l'époque) qui a pillé les richesses du pays, et a même utilisé des algériens comme des cobayes durant les premiers essais de bombes atomiques au début des années 1960. Donc il y a un agresseur et un agressé. Le déni collectif français ne changera rien à cette réalité.
J'ai de la compassion pour toutes les victimes civiles, qu'elles soient algériennes ou françaises, mais je ne puis honnêtement ignorer qui a engendré ce drame historique: la France.
La conscience collective française a toujours eu du mal à affronter ses erreurs historiques, par simple arrogance, aveuglement ou par peur de demandes de réparation économique, qu'il s'agisse de la déportation des juifs pendant la seconde guerre mondiale, ou son histoire coloniale.
Tant qu'un travail de mémoire honnête ne se fera pas dans ce pays, il ne faut pas s'attendre à de la sympathie des autres pays et des relations futures apaisées avec les victimes du colonialisme français du passé.
Pour toute personne qui doute encore de la sauvagerie française en Algérie dès les premières années de la colonisation en 1830, bien avant la guerre d'indépendance algérienne en 1954, une lecture intéressante qui donne un aperçu des massacres perpétrés et relatés par des soldats français:
http://www.ism-france.org/analyses/Le-passe-genocidaire-de-la-France-en-Algerie-article-16433
Un extrait de l'article qui laisse songeur:
« Dans la nuit du 6 au 7 avril 1832, la tribu des Ouffia fut exterminée près d’El-Harrach (Maison-Carrée) par le gouvernement du duc de Rovigo. A ce moment, Pellissier de Reynaud affirmait : « Tout ce qui vivait fut voué à la mort ; tout ce qui pouvait être pris fut enlevé, on ne fit aucune distinction d'âge ni de sexe. Cependant l'humanité d'un petit nombre d'officiers sauva quelques femmes et quelques enfants. En revenant de cette funeste expédition, plusieurs de nos cavaliers portaient des têtes au bout de leurs lances et une d'elles servie, dit-on, à un horrible festin. »**
*Photos de la visite à Alger à partir d'un l'article de ParisMatch.com
** Julien Charles-André, Histoire de l'Algérie contemporaine. La conquête et les débuts de la colonisation (1827-1871), Paris, P.U.F, 2 édition, 1979, page 92. Cf. Sellam Sadek, « Conquête de l’Algérie : crimes de guerre et crimes contre l’humanité », in. Parler des camps, penser les génocides, Paris, Albin Michel, 1999
A Paris jusqu'à fin janvier...
Posted on 05:03by Altofran
Arrivé depuis deux semaines à la 'Cité Lumière' pour les fêtes avec la famille et un peu de vacances dans ce pays que je visite à présent avec un regard externe qui fait que je remarque beaucoup plus de choses qu'avant en termes de comportements et de vie au quotidien, notamment certaines règles assez bizarres.
Par exemple, je suis allé monter au haut de l'Arc de Triomphe la semaine dernière, et après avoir payé les 9.50€ de mon billet, que ne fût grande ma surprise de découvrir que je ne pouvais pas utiliser un trépied au haut du monument. Oui, les appareils photo sont autorisés, mais pas les trépieds! Dans un monument visité chaque année par plus d'un million de visiteurs.
L'explication "officielle" est d'empêcher des terroristes potentiels de préparer des attentats; vraiment? En 2012, avec toutes les sources d'informations comme Google Maps, StreetView, etc., un potentiel terroriste aurait besoin d'un trépied pour perfectionner son plan!? Cherchez l'erreur.
Pire encore, il y deux employés en haut de l'Arc de Triomphe qui sont payés pour surveiller que vous n'utilisez pas votre trépied; quelle belle manière d'utiliser l'argent des contribuables.
Bref, voici deux photos panoramiques que j'ai pu finalement prendre en jouant de la contorsion du haut de l'Arc:
Par exemple, je suis allé monter au haut de l'Arc de Triomphe la semaine dernière, et après avoir payé les 9.50€ de mon billet, que ne fût grande ma surprise de découvrir que je ne pouvais pas utiliser un trépied au haut du monument. Oui, les appareils photo sont autorisés, mais pas les trépieds! Dans un monument visité chaque année par plus d'un million de visiteurs.
L'explication "officielle" est d'empêcher des terroristes potentiels de préparer des attentats; vraiment? En 2012, avec toutes les sources d'informations comme Google Maps, StreetView, etc., un potentiel terroriste aurait besoin d'un trépied pour perfectionner son plan!? Cherchez l'erreur.
Pire encore, il y deux employés en haut de l'Arc de Triomphe qui sont payés pour surveiller que vous n'utilisez pas votre trépied; quelle belle manière d'utiliser l'argent des contribuables.
Bref, voici deux photos panoramiques que j'ai pu finalement prendre en jouant de la contorsion du haut de l'Arc:
Vue à partir de l'Arc de Triomphe (face Est) |
Vue à partir de l'Arc de Triomphe (face Ouest) |
lundi 4 juin 2012
Portrait officiel du Président Hollande
Posted on 13:00by Altofran
Probablement le pire portrait présidentiel de l'histoire de la Ve république. Aujour'd hui, l'Élysée à dévoilé la photo officielle du Président Hollande qui va être arborée dans les administrations publiques en France pour les cinq prochaines années.
Prise par Raymond Depardon, qui est un photo-documentariste formidable, mais qui à mon avis a voulu trop 'innover' avec cette photo, surtout la pose qui est tout simplement, BIZARRE! On ne sait pas si le président est en train de marcher ou s'il a mal entre les jambes... Raté à mon avis.
Portrait officiel du Président Hollande (2012) © Inconnu. www.elysee.fr |
dimanche 1 janvier 2012
Happy New Year / Bonne Année
Posted on 00:00by Altofran
jeudi 22 avril 2010
De retour après 3 années... de procrastination!
Posted on 02:14by Altofran
vendredi 27 avril 2007
Film: Fracture ... Un Columbo juridique
Posted on 23:44by Altofran
Opinion ★★★☆☆
Second film que j'ai eu l'occasion de voir dernièrement est Fracture. La raison pour lequel je suis allé le voir est simplement l'association de deux acteurs naturels dans leur talent, l'un confimé à plusieurs reprises, Anthony Hopkins, et Ryan Gosling, acteur canadien qui commence à se confirmer, et dont l'excellente interprétation dans Half Nelson lui a valu une nomination aux derniers Oscars.
Fracture est l'histoire d'un brillant ingénieur Ted (Hopkins) riche et dont la belle épouse le trompe avec un autre homme. Perfectionniste, Ted va organiser dans les détails le meurtre de son épouse, mais de manière à laisser des trous dans l'enquête des policiers et donc dans le dossier du jeune procureur Willy (Gosling) aveuglé par ses succès précédents et l'offre d'un cabinet d'avocats privé.
Willy ne se résout pas à abandonner la partie, quit à risquer de perdre l'offre alléchante du privé. Ted détecte l'égo du procureur et va jouer sur cet élément pour le faire tomber.
Comme dans la série TV Columbo, il ne s'agit pas de découvrir le meurtrier mais la manière avec laquelle il va se faire attraper; disons que dans ce film, le diable est dans les détails juridiques! Bref, un polar de bonne facture, mais loin de devenir un classique à mon humble avis.
Film: Grindhouse ... simplement mémorable
Posted on 23:12by Altofran
Opinion ★★★☆☆
Certes, je suis toujours occupé avec le déménagement mais j'ai trouvé un peu de temps pour aller voir quelques films ces dernières semaines pour relaxer.
Le premier est le dernier né du duo Rodriguez / Tarantino, Grindhouse. C'est un film – que dis-je, deux films, Planet Terror et Death Proof, d'une heure trente chacun qui nous fait voyager dans le temps 30 ans en arrière pour nous faire vivre ou revivre l'ambiance dans les salles de cinéma à l'époque, plus particulièrement la projection de Séries-B.
Aucun détail n'est négligé: des vraies-fausses bandes annonces à la sauce 70s aux publicités kitch pour les boissons et autres amuse-gueules du cinéma. Des fausses bandes-annonces, Machete reste mon préféré.
La premier film était donc celui de Rodriguez, Planet Terror, un bijou de sci-fi bon marché. Le gouvernement a développé une arme biologique contagieuse qui fait que les gens se transforment en zombies. Dans une petite ville près d'une base militaire, la contamination commence et un groupe de résistants malgré eux s'organisent pour survivre. Parmi eux, une ancienne danseuse nue qui se fait arrachée la jambe par un des zombies; elle la remplace par un fusil mitrailleur par la suite qu'elle utilisera dans le combat contre les zombies, avec du sang qui gicle de partout comme dans les fontaines d'eau.
Je n'irai pas loin dans l'histoire car le point n'est pas le scénario mais bien la mise en scène et l'ambiance. La salle n'arrêtait d'éclater de rire tout au long du film, notamment quand la scène torride entre l'héroïne et le héro s'est subitement coupée avec un message «A reel is missing; apologies from the management» (une des bandes du film est manquante; toutes les excuses du management).
Le second film est celui de Tarantino, Death Proof, qui met en scène Kurt Russell dans le rôle d'un cascadeur et tueur-en-série qui utilise sa voiture à l'épreuve de la mort (d'où le titre) pour tuer ses victimes. Comme dans les classiques de Tarantino, les dialogues entre les personnages sont la clé du film.
Certes, je suis toujours occupé avec le déménagement mais j'ai trouvé un peu de temps pour aller voir quelques films ces dernières semaines pour relaxer.
Le premier est le dernier né du duo Rodriguez / Tarantino, Grindhouse. C'est un film – que dis-je, deux films, Planet Terror et Death Proof, d'une heure trente chacun qui nous fait voyager dans le temps 30 ans en arrière pour nous faire vivre ou revivre l'ambiance dans les salles de cinéma à l'époque, plus particulièrement la projection de Séries-B.
Aucun détail n'est négligé: des vraies-fausses bandes annonces à la sauce 70s aux publicités kitch pour les boissons et autres amuse-gueules du cinéma. Des fausses bandes-annonces, Machete reste mon préféré.
La premier film était donc celui de Rodriguez, Planet Terror, un bijou de sci-fi bon marché. Le gouvernement a développé une arme biologique contagieuse qui fait que les gens se transforment en zombies. Dans une petite ville près d'une base militaire, la contamination commence et un groupe de résistants malgré eux s'organisent pour survivre. Parmi eux, une ancienne danseuse nue qui se fait arrachée la jambe par un des zombies; elle la remplace par un fusil mitrailleur par la suite qu'elle utilisera dans le combat contre les zombies, avec du sang qui gicle de partout comme dans les fontaines d'eau.
Je n'irai pas loin dans l'histoire car le point n'est pas le scénario mais bien la mise en scène et l'ambiance. La salle n'arrêtait d'éclater de rire tout au long du film, notamment quand la scène torride entre l'héroïne et le héro s'est subitement coupée avec un message «A reel is missing; apologies from the management» (une des bandes du film est manquante; toutes les excuses du management).
Le second film est celui de Tarantino, Death Proof, qui met en scène Kurt Russell dans le rôle d'un cascadeur et tueur-en-série qui utilise sa voiture à l'épreuve de la mort (d'où le titre) pour tuer ses victimes. Comme dans les classiques de Tarantino, les dialogues entre les personnages sont la clé du film.
A l'inverse Planet Terror, qui est un déluge d'hémoglobine, le film de Tarantino est implanté dans le style classique des films avec des cascades d'autos, avec la second partie du film qui comprend une vraie cascade par une des actrices, Zoë Bell, elle même cascadeuse dans la vraie vie.
Je suis convaincu que Grindhouse est un classique instantané, bien fait, avec des stars et des acteurs moins connus qui tous mis leur talent au service de deux réalisateurs géniaux. Bref, 3 heures de pur bonheur cinématographique.
mardi 24 avril 2007
Premières photos de Toronto
Posted on 21:44by Altofran
samedi 31 mars 2007
Nouvelle étape >>> Toronto
Posted on 23:27by Altofran
Après près de neuf ans à Montréal, le temps du changement a sonné avec une nouvelle étape qui a commencé aujourd'hui à Toronto. J'ai pris mon auto ce matin avec quelques bagages pour un voyage de plus de cinq heures, en attendant le grand déménagement, probablement fin Avril.
Beaucoup de d'excitation pour cette nouvelle étape. Je mettrai des photos en ligne dès que j'aurais le temps d'en prendre.
mardi 27 mars 2007
Film: Reign Over Me ... mais pas sur moi
Posted on 13:56by Altofran
Opinion ★★☆☆☆
Voilà donc Adam Sandler dans un autre rôle "sérieux" après celui qu'il a incarné dans Punch Drunk Love. Un instant! C'est le même rôle. Je sais, je suis méchant, mais j'ai l'impression que Sandler ne possède que deux registres dans son répertoire d'acteur: le comique et le "dérangé" insociable.
Le film tourne autour du personnage de Charlie Fineman (Sandler) ex-dentiste qui a perdu son épouse et ses trois filles dans un des avions détournés le 11 septembre 2001.
Après ce drame, Charlie pète les plombs, s'isole de son entourage et passe son temps à arpenter les rues de New York avec sa mobylette motorisée, les écouteurs sur les oreilles, une manière de se déconnecter du monde et enfouir sa douleur.
Son ancien camarade de chambre universitaire, Alan Johnson (Don Cheadle) le croise à un coin de rue et essaie de raviver le lien d'amitié entre les deux. Connaissant le drame personnel de Charlie, il essaie de le sortir de son isolement. Alan y trouve également son compte car le temps qu'il passe avec son ami lui permet de retrouver un peu de liberté de ses obligations familiales.
En tentant de gagner la confiance de Charlie, Alan en apprend autant sur ses états d'âme et sa situation que sur son ami.
Don Cheadle livre encore une fois une performance digne de son talent, mais cela ne suffit pas à faire décoller le film qui est trop long et trop plein de clichés. L'omniprésence de chansons comme fonds musical rappelle les films des années 1980, au point de se demander si c'est la promo du "best of" de The Who, dont le film emprunte le titre d'un de leurs nombreux succès. Ça aurait pu être mieux.
Voilà donc Adam Sandler dans un autre rôle "sérieux" après celui qu'il a incarné dans Punch Drunk Love. Un instant! C'est le même rôle. Je sais, je suis méchant, mais j'ai l'impression que Sandler ne possède que deux registres dans son répertoire d'acteur: le comique et le "dérangé" insociable.
Le film tourne autour du personnage de Charlie Fineman (Sandler) ex-dentiste qui a perdu son épouse et ses trois filles dans un des avions détournés le 11 septembre 2001.
Après ce drame, Charlie pète les plombs, s'isole de son entourage et passe son temps à arpenter les rues de New York avec sa mobylette motorisée, les écouteurs sur les oreilles, une manière de se déconnecter du monde et enfouir sa douleur.
Son ancien camarade de chambre universitaire, Alan Johnson (Don Cheadle) le croise à un coin de rue et essaie de raviver le lien d'amitié entre les deux. Connaissant le drame personnel de Charlie, il essaie de le sortir de son isolement. Alan y trouve également son compte car le temps qu'il passe avec son ami lui permet de retrouver un peu de liberté de ses obligations familiales.
En tentant de gagner la confiance de Charlie, Alan en apprend autant sur ses états d'âme et sa situation que sur son ami.
Don Cheadle livre encore une fois une performance digne de son talent, mais cela ne suffit pas à faire décoller le film qui est trop long et trop plein de clichés. L'omniprésence de chansons comme fonds musical rappelle les films des années 1980, au point de se demander si c'est la promo du "best of" de The Who, dont le film emprunte le titre d'un de leurs nombreux succès. Ça aurait pu être mieux.
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