Opinion ★★★☆☆
Avec près de 8 ans de retard, j'ai loué Following (1998) de Christopher Nolan; c'est le premier long métrage de ce prodige du cinéma britannique.
On reconnait rapidement le style Nolan à travers une chronologie non-linéaire des évènements, avec des allers et retours dans le temps, mais de manière moins «chaotique» que Memento.
C'est l'histoire de Bill (Jeremy Theobald), un chômeur qui a des ambitions d'écrivain et qui cherche à tuer le «temps libre» que sa situation sociale précaire lui procure. Il décide de suivre des gens au hasard dans la rue, d'où le titre du film, afin de connaitre leur parcours quotidien, sans toutefois interférer dans leurs vies. Il espère pouvoir s'en inspirer pour son écriture.
Il se fixe toutefois des règles pour ne pas dégénérer en psychopathe: ne jamais suivre la même personne deux fois, ne jamais suivre des femmes dans des ruelles, etc.
Tout va changer lorsque Cobb (Alex Haw), un gentleman cambrioleur, se rend compte du manège de Bill. Mais au lieu de le semer, Cobb va à la rencontre de Bill, et lui propose de se joindre à ses cambriolages. Cobb apprend à Bill les dessous du «métier» et lui montre les petites touches qu'il laisse à son passage dans les appartements de ses victimes, comme des sous-vêtements féminins afin mettre du piquant dans la vie de ces inconnus.
Au détour d'un cambriolage, Bill est fasciné par les photos d'une des victimes, la blonde (Lucy Russell) qu'il cherche à rencontrer, et c'est là que l'histoire se complique. La fin de l'intrigue réserve d'assez bonnes surprises. Mais à vous de les découvrir.
Nolan démontre un talent certain d'écriture et de mise en scène qui se confirmeront par la suite dans Memento, Insomnia, Batman Begins ou plus récemment avec The Prestige. A noter que Nolan a inclus des petits rôles à Jeremy Theolbald et Lucy Russell dans Batman Begins.
Avec près de 8 ans de retard, j'ai loué Following (1998) de Christopher Nolan; c'est le premier long métrage de ce prodige du cinéma britannique.
On reconnait rapidement le style Nolan à travers une chronologie non-linéaire des évènements, avec des allers et retours dans le temps, mais de manière moins «chaotique» que Memento.
C'est l'histoire de Bill (Jeremy Theobald), un chômeur qui a des ambitions d'écrivain et qui cherche à tuer le «temps libre» que sa situation sociale précaire lui procure. Il décide de suivre des gens au hasard dans la rue, d'où le titre du film, afin de connaitre leur parcours quotidien, sans toutefois interférer dans leurs vies. Il espère pouvoir s'en inspirer pour son écriture.
Il se fixe toutefois des règles pour ne pas dégénérer en psychopathe: ne jamais suivre la même personne deux fois, ne jamais suivre des femmes dans des ruelles, etc.
Tout va changer lorsque Cobb (Alex Haw), un gentleman cambrioleur, se rend compte du manège de Bill. Mais au lieu de le semer, Cobb va à la rencontre de Bill, et lui propose de se joindre à ses cambriolages. Cobb apprend à Bill les dessous du «métier» et lui montre les petites touches qu'il laisse à son passage dans les appartements de ses victimes, comme des sous-vêtements féminins afin mettre du piquant dans la vie de ces inconnus.
Au détour d'un cambriolage, Bill est fasciné par les photos d'une des victimes, la blonde (Lucy Russell) qu'il cherche à rencontrer, et c'est là que l'histoire se complique. La fin de l'intrigue réserve d'assez bonnes surprises. Mais à vous de les découvrir.
Nolan démontre un talent certain d'écriture et de mise en scène qui se confirmeront par la suite dans Memento, Insomnia, Batman Begins ou plus récemment avec The Prestige. A noter que Nolan a inclus des petits rôles à Jeremy Theolbald et Lucy Russell dans Batman Begins.